Tuesday, August 2, 2016

Chronique de cybersexuelle !

Il fait super chaud, tout le monde dors en bas de chez nous ... moi dans ma chambre je me suis isolee ... j'ai ouvert la clim et je me suis mise devant mon ordinateur.

A ce stade de ma vie je suis celibataire et c'est deprimant, je ne sais pas quoi faire de ma vie, j'ai toujours aimé avoir un copain, amant, ou juste une personne qui saura me gater.
J'avais l'impression que le temps passe si vite... donc je precipite souvent a aller sur un site de tchatche pour parler avec des inconnus .. et ca fini toujours par moi .. en me touchant....
Suis-je devenu tres accro ?  Ma premiere fois c'etait en 2003 ... quand je suis tombe sur un mail d'un inconnu ouvert dans un publinet, je l'ai lu ... la personne en question une femme a recu un mail de la part de son copain qui lui racontais comment il allait lui faire l'amour, en lisant le mail j'ai senti des palpitations dans ma chatte ... je me rappelle que j'ai passe 1h devant l'ordinateur ensuite j'ai quitte avant d'imprimer le mail en question et je suis rentre chez moi contente.
Cette nuit la j'arretai pas de lire et relire le mail, jai ensuite mis ma mainsur ma chatte et j'ai commence a me toucher... j'avais peur mais c'etait un sentiment bizarre et excitant a la fois...

Friday, July 22, 2016

Je suis maitraisse de mon patron et j'aime ca...

Lorsque j’ai intégré ce cabinet comptable, juste après avoir obtenu mon diplôme de maitrise, je n’aurais jamais cru que j’allais vivre cette aventure. Alors âgée de 23 ans, je pensais juste effectuer un stage pour valider mon diplôme et continuer mes études. Mais voilà, j’ai rencontré Chaker.
Chaker, patron de cette petite société comptant une dizaine de comptables, était le cousin d’un camarade d’université. La quarantaine bien entamée, les cheveux grisonnants, il était marié et père de deux adolescents. La première fois que je l’ai vu, je l’ai trouvé charmant mais sans plus. Il me faisait un peu penser à mon père, et je le trouvais très gentil, d’autant qu’il avait accepté de me prendre en stage sans aucun problème.
Mon arrivée dans la société n’a pas été vue d’un très bon œil par les autres employés. Apparemment, j’étais la première stagiaire que Chaker embauchait, et il n’a pas tari d’éloges à mon égard en me présentant à toute l’équipe. C’était peut-être un peu trop pour une simple stagiaire. Les autres filles de la boîte étaient méfiantes vis-à-vis de moi, d’autant que Chaker venait tous les jours aux nouvelles pour savoir si tout se passait bien, si on s’occupait bien de moi, si j’étais satisfaite, si j’apprenais beaucoup de choses, etc.
Il avait décidé de me présenter comme la fille d’un ami à lui, j’étais donc devenue la « chouchoute pistonnée » aux yeux de tous. Lorsque mon stage a pris fin, un mois plus tard, j’étais bien contente de quitter cette société où je n’étais que très moyennement appréciée. Sauf que Chaker ne l’entendait pas de cette oreille. Il m’a proposé de prolonger mon stage de deux mois, jusqu’à la fin de l’été, et m’a même offert un salaire. Pas très élevé, certes, mais intéressant pour un premier salaire, et c’était d’ailleurs pour moi une occasion d’être financièrement indépendante de mes parents. J’ai donc accepté sa proposition et décidé par la même occasion de changer d’attitude vis-à-vis des autres employés. Je me suis obligée à être beaucoup plus sociable, me suis montrée intéressée par le travail des uns et des autres, je déjeunais avec eux… bref, je me suis intégrée petit à petit, et finalement, ce travail me plaisait. J’appréciais de plus en plus Chaker, j’ai même fait la connaissance de sa femme lors d’un dîner d’affaires. Mais je sentais que son attitude, ou plutôt son regard sur moi commençait à changer. Moi-même, je ne me sentais plus très à l’aise lorsque j’étais seule dans son bureau avec lui, et je soutenais difficilement son regard. La nuit, il m’arrivait de penser à lui, mais j’essayais en vain de chasser ces idées saugrenues de ma tête. J’essayais de me convaincre que ce que j’éprouvais pour lui n’était rien d’autre qu’une admiration pour sa personne, pour son travail, pour ce qu’il avait accompli, lui parti de rien et issu d’une famille très modeste.
Une fois mes trois mois de stages effectués, c’est tout naturellement qu’il m’a proposé un vrai contrat, que j’ai accepté sans hésitation. Nous nous étions beaucoup rapprochés et, vu qu’il n’habitait pas très loin de chez mes parents, il avait pris l’habitude me raccompagner en fin de journée. J’appréciais tout particulièrement ces moments passés à ses côtés. Un soir, alors que nous étions sur le chemin de chez mes parents, il m’a proposé d’aller boire un verre. J’ai accepté, sans trop réfléchir, mais sachant pertinemment dans quoi je m’embarquais. Notre histoire a débuté ce soir-là. Sans trop comprendre comment ont évolué mes sentiments, ni à quelle vitesse, je me suis vite retrouvée amoureuse de cet homme. Je trouvais la situation de l’interdit particulièrement excitante, et je ne me posais pas trop de questions. J’étais bien avec lui, qui ne me demandait pas de lui rendre des comptes et auquel je ne demandais rien non plus. Il avait sa vie, j’avais la mienne, mais chaque fois qu’on se retrouvait seuls, c’était magique. 
il s'avait comment prendre soin demoi, comment me prendre, comment me faire l'amour: il commencait toujours par les preleminaire dans les regles de l'art... ensuite me prendre comme une saloppe contre tout ... j'aimais ca ! j'aimait quand il me traitais de pute ... (oui 9a7ba) ca m'excitait vraiment ... j;aimais le masturbait ... mutuellement aussi ..  c t intense !
Nous nous retrouvions essentiellement au bureau, tard le soir, puis il a pris un appartement, dans lequel je me suis petit à petit installée et dans lequel je vis aujourd’hui. A sa femme, il avait inventé un nouvel associé, avec lequel il avait de plus en plus de « réunions tardives » et autres « dîners d’affaires. » Il m’arrivait et il m’arrive encore de penser à sa femme, de me dire que je suis cruelle, que je n’ai pas le droit de lui faire ça. J’essaie de me mettre à sa place. Et j’ai mal pour elle. Mais je me dis que mon heure arrivera aussi, et ça me déculpabilise un peu.
Aux yeux des autres employés, je pense que rien n’a vraiment changé. Ils ont toujours cru qu’il y avait quelque chose entre nous, je ne me sentais donc pas plus mal à l’aise. Je trouve cela particulièrement excitant d’être la « « maîtresse du boss », je me sens privilégiée. Mais aujourd’hui, l’avenir commence à me faire peur. La trentaine n'étant pas loin, je commence à réaliser que je le veux vraiment, même si je sais que je ne serai jamais plus qu’une maîtresse pour lui, et qu’il ne quittera jamais sa femme pour moi. Nos sentiments ont beaucoup évolué, il me promet des voyages, des projets en commun, mais j’essaie de ne pas le croire.
Je l’aime, mais j’arrive à me convaincre qu’il n’est pas à moi, et que j’ai déjà énormément de chance de vivre ces rares moments avec lui. Lui de son côté me couvre de cadeaux pour compenser son absence ou pour se sentir moins coupable de n’être que mon amant. Je sais qu’un jour je le quitterai, pour toutes ses promesses non tenues et pour cette histoire que nous ne vivrons jamais. Mais en attendant ce jour, je profite des moindres secondes que je passe avec cet homme, MON homme, le temps de quelques heures par jour. J’essaie aussi de ne pas penser à la souffrance qui s’installera en moi une fois qu’il ne sera plus là.


Ma premiere experience avec Asma .

J’ai rencontré Asma pour la première fois il y a huit ans. J’avais invité plusieurs amis à l’occasion d’un vernissage dans ma galerie et elle accompagnait l’un d’entre eux. Son charme et son élégance m’avaient laissée sans voix. Une magnifique brune aux cheveux longs, un regard malicieux qui vous hypnotise et des jambes interminables… elle apparaissait à mes yeux d’artiste l’incarnation charnelle du Désir. La soirée est passée sans que nous ayons la possibilité de faire connaissance, le seul indice que je possédais était sa nationalité libanaise. Lorsque je suis rentrée chez moi, je n’ai pas cessé de penser à sa beauté, aux émotions qui émanaient d’elle. Il y avait bien longtemps que j’avais arrêté de peindre, mais ce soir-là, j’ai retrouvé mon inspiration.
Je m’en souviens encore, c’était l’année de mon onzième anniversaire de mariage avec Elies. Même si nous étions fous d’amour, notre couple commençait à s’essouffler. Nous nous étions habitués l’un à l’autre, il n’existait plus aucune surprise entre nous et honnêtement, nous ne faisions pas les efforts nécessaires pour arranger la situation. Aussi, pour m’évader de cette monotonie quotidienne, il m’arrivait très régulièrement de sortir avec des amis.
Neuf jours plus tard, j’ai retrouvé Asma chez un ami. Je me souviens avoir ressenti beaucoup de bonheur au moment où je l’ai aperçue. Il faut dire que depuis notre rencontre, je n’avais de cesse de penser à elle, quelque chose m’attirait irrémédiablement chez elle au point de me troubler. J’ai donc profité de cette opportunité pour lui parler et apprendre à la connaître. Elle était très douce et mystérieuse, ce qui ne faisait qu’augmenter ma curiosité. J’ai appris après plusieurs heures de discussion qu’elle était aussi passionnée d’art et de littérature. Elle avait édité quelques livres sur la peinture musulmane du XVIe siècle et s’était accordé un mois pour se consacrer à des recherches en Tunisie sur ce même sujet. Notre amour commun pour le domaine artistique nous avait entraînées dans des débats interminables, nous faisant perdre toute notion du temps. Ainsi, il était déjà très tard et tout le monde commençait à partir. Comme nous n’étions pas fatiguées et que nous voulions continuer de discuter, Asma m’a proposé de poursuivre la soirée chez elle, une jolie petite maison qu’elle avait louée à Sidi Bou Saïd. Je me sentais tellement à l’aise avec elle que j’ai accepté son invitation sans même réfléchir! Tout naturellement, nous nous sommes donc retrouvées dans son salon à parler de sa vie au Liban. Après avoir fini notre première bouteille de vin, nous avons commencé à converser sur des sujets plus intimes. Alors que je lui confessais la lassitude que je ressentais dans mon couple, elle a posé délicatement sa main sur ma cuisse. Dans ces instants de confidence, elle m’a avoué les larmes aux yeux qu’elle avait perdu ses deux parents pendant la guerre du Liban. J’étais si touchée par son histoire que sans même m’en rendre compte, je l’ai serrée fort dans mes bras.
C’est à ce moment que j’ai perdu le contrôle de la situation… Ça a commencé par quelques baisers dans le cou qui sont progressivement remontés sur mes lèvres. L’alcool aidant, je me suis laissée aller à ce nouveau plaisir.
Le lendemain, je me suis réveillée le sourire aux lèvres. Je suis tout de suite rentrée chez moi pour qu’Elies ne s’aperçoive pas de mon absence et j’ai repris ma petite vie quotidienne. Bien sûr, plus rien n’allait être comme avant, mais cette petite aventure m’a permis d’ouvrir les yeux: j’étais toujours aussi follement amoureuse de mon mari. Le soir même, lorsqu’il est rentré du travail, je l’ai embrassé avec toute la passion que je ressentais. C’était comme si je démarrais une nouvelle histoire avec l’homme de ma vie, comme si je retombais amoureuse. Je pense réellement que cette nuit avec Asma nous a permis, à Elies et moi, de nous retrouver.
Quant à Asma, c’est une autre histoire! Nous nous sommes revues deux fois avant son départ mais à aucun moment nous n’avons reparlé de cette fameuse nuit. Je sentais qu’elle avait de réels sentiments pour moi mais malheureusement, ils n’étaient pas partagés. Elle aimait les femmes et moi les hommes… Elle m’a quand même proposé de tout abandonner pour redémarrer une nouvelle vie avec elle en France, mais j’ai refusé. Cependant, nous sommes restées amies, de bonnes amies je dirais même. Il y a deux ans, elle est venue me rendre visite à Tunis accompagnée d’une jeune femme. Elle avait enfin trouvé l’amour! 

Vacances en Tunisie



Martine





Je lis vos histoires depuis un an et je dois avouer que certaines sont vraiment excitantes.D'autre part un traintrain s'est installé dans mon couple depuis quelques années et par moment je m'imaginais à la place de certaines femmes. Mariée depuis l'age de 18 ans avec mon premier hommme, un forcené du travail ce qui m'impressionnait au départ mais depuis 3 ans cela devennait difficile à vivre.En effet agée de 41ans et mes 2 filles élévées (21et19ans)je m'ennuis à présent bien que faisant beaucoup de sport et des soins mes journées sont longues ,trompée mon mari était pour moi inconcevable question d'éducation. Au mois de juin j'ai gagnée un voyage en tunisie pour 2 personne pour 15 jours. Mon mari étant débordé de travail refusa qu'on y aille après des grosses disputes il accepta que j'y aille avec ma soeur.Heureuse de pouvoir partir en vacance et de passer 15 jours avec ma petite soeur divorcée (32ans) que j'adore. nous sommes arrivées en Tunisie le samedi à 14h on était heureuse comme 2 gamines de 15ans enfin surtout moi. Après avoir pris soin de bien nous installer nous sommes allées au bord de la piscine sandrine petite brune yx marron très fine et moi martine 166 56kg blonde yx vert95c(poitrine refaite)je tiens de mon père elle de ma mère.très vite le regard des hommes se posèrent sur nous avec sandrine on en rigolait et on décida d'allumer les mecs pendant 3 jours on s'éclata puis sandrine eu le béguin pour un mec de Paris . ils passèrent beaucoup de temps ensembles je vis beaucoup moins ma soeur qui après un divorce difficile passait du bon temps à part quelques heures ds la journée et le soir je la voyais très peu elle dormait et passait beaucoup de temps avec Pierre. le samedi comme prévu je partis en excursion j'étais seule et je me suis fait draguée par des tunisiens en rentrant je me suis carressée. le lendemain je décidais d'aller faire mes achats souvenir, je pris un taxi le mec me matais ds le rétro je me suis dit j'aurais du m'habiller autrement j'étais en jupe et tee-shirt 40° je me voyais pas mettre un pantalon. Après avoir bcp marcher et avoir été dévisagé par un nombre de incroyable de tunisien je me décidais à rentrer ds un magasin de babiole j'avais remarquée qu'il y avait 2 couples à l'intérieur .A peine à l'intérieur un tunisien très grand et bel homme m'approcha et me demanda ce que je voulais il me montra plein de cendrier,plat,sercice à thé,et djellabah.il me regardais et me draguais sans retenue la journée m'avait mise ds tous mes états le chauffeur ,les hommes ds la rue et lui à présent un moment il se pencha sur moi en me montrant des djellabah et posa sa main sur mon épaule je sentis un frisson m'envahir après avoir acheter pas mal de chose je retournais à l'hotel et après une masturbation géante je passais la soirée avec ma soeur et Pierre. Après avoir hésité le lendemain je retournais au magasin en jupe et tee-shirt moulant et un peu maquillée après pluseurs ballades et le regards des hommes je me décidais à retourner ds le magasins excitée le mec et rentrer me caresser chose que j'adore. Il était la avec un autre hommme plus petit et plus gros avec des moustaches .il me reconnut tout de suite et vint vers moi alors la gazelle elle a oubliée quelque chose je lui répondit que les djellabah étaient trop grande chose vraie.Il m'en donna d'autres à la bonne taille j'en profitais pour l'allumer un peu ce qui m'excitais. J'allais partir mais il me prit le bras et me dit si tu veux les essayer on a une cabine ,j'acceptais mais à ma surprise la cabine était dans la pièce de derrière il m'emmenna je passais entre les cartons il me dirigea vers un grand rideau j'étais un peu inquiète une fois à l'intérieur je repris mes esprits et enfilait une djellabah il me demanda si elle m'allait je dis oui il me demanda de sortir il était assis sur un vieux canapé en cuir en buvant un thé il se leva et me dit parfait je retournais derrière le rideaux il me proposa un thé que j'acceptais j'étais entrain de me rajuster quand il tira le rideaux et m'offrit le thé ses yeux me dévorait je lui souris et le remerciait il rigola et posa sa tasse et me pris le bras en me tirant vers lui j'étais contre lui excitée et appeurée il me demanda tu aimes les tunisiens j'ai bafouillée laissé moi il rit et me dit en me prenant le cou avec force tu me chauffe depuis un heure maintenant tu vas éteindre il me passa une main sous le te-shirt en me pelotant un sein je lui demandais de me laissé partir il me dit ok mais après avoir été gentille il m'embrassa il sentait fort les épices et quelle force en même temps qu'il me fouillais la bouche il passais ses mains sur mes fesses puis il me lacha la bouche et m'assis sur le canapé tu vas voir la gazelle tu vas aimé il baissa son pantalon il n'avait pas de slip mais un sexe long et large avec un gland très brun il me força la bouche j'ai sucé cet inconnu pendant au moins dix minutes j'étais trempée ensuite il me retourna et me baisa sur le canapé pdt une heure j'ai jouie comme jamais quel amant ensuite il me sodomisa ce fut dur au début puis très intense.Je rentrais ensuite à l'hotel comblée.le lendemain je retournais au magasin quand il me vit arrivée il me prit le bras et m'emmenna derrière il m'agenouillaet me fit sucer son sexe puis me baisa en levrette pendant que je jouissais je m'aperçcut que le gros moustachu me présentait son sexe ensuite il me baisèrent tous les deux pdt 2 h j'ai jouie comme une folle voila mes plus belles vacances je suis revennue et depuis j'ai pris un amant sur le net mais je vous raconterais cela dans un autre récit a bientôt bises

Premiere adultere avec le tunisien

Auteur : Charlotte et le Tunisien

Agée de 32 ans aujourd'hui je suis mariée depuis 10ans, j'aime mon mari mais j'ai des pulsions. Mon premier adultère remonte à 5 ans, j'étais dans notre ancien appartement quand notre gardien d'immmeuble, un tunisien agé de 45 ans à peu près, est venu me remettre un colis que le facteur avait déposé. Il avait un très fort accent et me matait toujours avec des yeux gourmands. Ce jour là il me dit 
" ton mari il a bcp des chances ti es belle" 
Je le remercie pour son compliment et le raccompagne vers la porte, il se retourne et me dit 
" moi ji serai a sa place ji ti ferais l'amour 3 fois par jour" 
je rougis et lui dit de partir, en partant il me dit 
" si tu ti sent seule j'y suis la ok " 
pour le faire partir je lui répond ok. 3 jours plus tard j'étais à la maison quand des bruits qui venaient de chez les voisins m'interpella. La voisine jouissait avec beaucoup de bruit, c'était la première fois que je l'entendais et j'avais vu son mari partir comme d'habitude au travail. 2 heures plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir et je vis par le juda notre concierge sortir de chez la voisine. J'étais choquée, c'était une très belle femme de 30 ans très classe et je me demandais comment une femme d'une telle classe avait pu tromper son mari, un bel homme de surcroît, avec cette brute de tunisien sans classe. 2 semaines passèrent et mon concierge continuait sa cour assidument mais je l'évitais le plus possible. Ce jour là il prit l'ascenseur avec moi il me dévisageait du regard, étant très grand je n'osais pas lever les yeux. Arrivée à l'étage, j'ouvris ma porte et rentra, lui sonna chez la voisine et bien sûr après j'entendis la voisine geuler à nouveau, ce qui m'excita. Je me suis caressée en écoutant la voisine jouir. Quand la porte s'ouvrit j'étais derrière mon juda, il passa devant, se retourna, s'approcha et me fit un clin d'oeil. A ce moment j'ai eue l'impression qu'il me voyait. La semaine suivante je rentrais des courses avec beaucoup de paquets, il me proposa de m'aider, je le remerciait mais lui répondit ça ira j'ai l'habitude. Il insista en prenant des paquets et monta dans l'ascenceur avec moi. Sa présence me troublait, il me demanda si j'avais toutes mes courses ou si il en restait dans la voiture, je répondis en bégayant oui j'ai tout. J'ouvris la porte, il passa devant avec mes sacs, je le suivis, génée par la situation, il me demanda où les poser, je lui indiquais la cuisine, je le remercie, il me demanda si j'avais quelques chose de frais à boire, je lui offrit un coca. 1mn plus tard, sans gène, il était assis sur le coin de la table pendant que je rangeais mes courses. Il me demanda si la voisine était pas trop bruyante, je devins toute rouge, il rit et m'a dit 
"ti sait ti pourais en profité toi aussi regarde comme tu mi plais" il avait sortit son sexe, un sexe tendu, circoncis ( le premier que je voyais ) et d'une taille imposante, j'étais tétanisée par la vue de ce sexe et par la peur que cet homme me faisait. Il s'approcha et me dit 
" viens ti va voir " 
il me prit la main et m'emmenna dans le salon, il me poussa contre un mur et m'embrassa en me pelotant, la peur et l'excitation m'envahit, il sentait fort la transpiration, il prit ma main et la posa sur son sexe et m'a dit 
" vas y branle moi" 
je m'exécutais dans un état second puis il me retourna me pencha sur la table avec beaucoup de puissance et me dit 
" j'aime bien li pitite pute di française qi se font biser quand leur mari i travail " 
et là il me pénétra sans douceur d'un grand coup, je jouis tout de suite, il me baisa ainsi pendant 20 minutes à peu près, j'ai jouit énormément, il était viril et endurant, ensuite il m'a sodomisé, j'ai adoré ce sentiment de honte et de bohneur mélangés, il me faisait prendre un pied terrible, il m'a prise ainsi pendant 2 h, j'étais vanée. Il a jouit sur mon dos de longues giclées
puis est partit en me disant à bientôt. Le lendemain vers 14h il me rendit visite et m'obligea à le sucer jusqu'au bout. 3 mois plus tard on déménagé dans notre maison.