Lorsque j’ai intégré ce cabinet comptable, juste après avoir obtenu mon diplôme de maitrise, je n’aurais jamais cru que j’allais vivre cette aventure. Alors âgée de 23 ans, je pensais juste effectuer un stage pour valider mon diplôme et continuer mes études. Mais voilà, j’ai rencontré Chaker.
Chaker, patron de cette petite société comptant une dizaine de comptables, était le cousin d’un camarade d’université. La quarantaine bien entamée, les cheveux grisonnants, il était marié et père de deux adolescents. La première fois que je l’ai vu, je l’ai trouvé charmant mais sans plus. Il me faisait un peu penser à mon père, et je le trouvais très gentil, d’autant qu’il avait accepté de me prendre en stage sans aucun problème.
Mon arrivée dans la société n’a pas été vue d’un très bon œil par les autres employés. Apparemment, j’étais la première stagiaire que Chaker embauchait, et il n’a pas tari d’éloges à mon égard en me présentant à toute l’équipe. C’était peut-être un peu trop pour une simple stagiaire. Les autres filles de la boîte étaient méfiantes vis-à-vis de moi, d’autant que Chaker venait tous les jours aux nouvelles pour savoir si tout se passait bien, si on s’occupait bien de moi, si j’étais satisfaite, si j’apprenais beaucoup de choses, etc.
Mon arrivée dans la société n’a pas été vue d’un très bon œil par les autres employés. Apparemment, j’étais la première stagiaire que Chaker embauchait, et il n’a pas tari d’éloges à mon égard en me présentant à toute l’équipe. C’était peut-être un peu trop pour une simple stagiaire. Les autres filles de la boîte étaient méfiantes vis-à-vis de moi, d’autant que Chaker venait tous les jours aux nouvelles pour savoir si tout se passait bien, si on s’occupait bien de moi, si j’étais satisfaite, si j’apprenais beaucoup de choses, etc.
Il avait décidé de me présenter comme la fille d’un ami à lui, j’étais donc devenue la « chouchoute pistonnée » aux yeux de tous. Lorsque mon stage a pris fin, un mois plus tard, j’étais bien contente de quitter cette société où je n’étais que très moyennement appréciée. Sauf que Chaker ne l’entendait pas de cette oreille. Il m’a proposé de prolonger mon stage de deux mois, jusqu’à la fin de l’été, et m’a même offert un salaire. Pas très élevé, certes, mais intéressant pour un premier salaire, et c’était d’ailleurs pour moi une occasion d’être financièrement indépendante de mes parents. J’ai donc accepté sa proposition et décidé par la même occasion de changer d’attitude vis-à-vis des autres employés. Je me suis obligée à être beaucoup plus sociable, me suis montrée intéressée par le travail des uns et des autres, je déjeunais avec eux… bref, je me suis intégrée petit à petit, et finalement, ce travail me plaisait. J’appréciais de plus en plus Chaker, j’ai même fait la connaissance de sa femme lors d’un dîner d’affaires. Mais je sentais que son attitude, ou plutôt son regard sur moi commençait à changer. Moi-même, je ne me sentais plus très à l’aise lorsque j’étais seule dans son bureau avec lui, et je soutenais difficilement son regard. La nuit, il m’arrivait de penser à lui, mais j’essayais en vain de chasser ces idées saugrenues de ma tête. J’essayais de me convaincre que ce que j’éprouvais pour lui n’était rien d’autre qu’une admiration pour sa personne, pour son travail, pour ce qu’il avait accompli, lui parti de rien et issu d’une famille très modeste.
Une fois mes trois mois de stages effectués, c’est tout naturellement qu’il m’a proposé un vrai contrat, que j’ai accepté sans hésitation. Nous nous étions beaucoup rapprochés et, vu qu’il n’habitait pas très loin de chez mes parents, il avait pris l’habitude me raccompagner en fin de journée. J’appréciais tout particulièrement ces moments passés à ses côtés. Un soir, alors que nous étions sur le chemin de chez mes parents, il m’a proposé d’aller boire un verre. J’ai accepté, sans trop réfléchir, mais sachant pertinemment dans quoi je m’embarquais. Notre histoire a débuté ce soir-là. Sans trop comprendre comment ont évolué mes sentiments, ni à quelle vitesse, je me suis vite retrouvée amoureuse de cet homme. Je trouvais la situation de l’interdit particulièrement excitante, et je ne me posais pas trop de questions. J’étais bien avec lui, qui ne me demandait pas de lui rendre des comptes et auquel je ne demandais rien non plus. Il avait sa vie, j’avais la mienne, mais chaque fois qu’on se retrouvait seuls, c’était magique.
il s'avait comment prendre soin demoi, comment me prendre, comment me faire l'amour: il commencait toujours par les preleminaire dans les regles de l'art... ensuite me prendre comme une saloppe contre tout ... j'aimais ca ! j'aimait quand il me traitais de pute ... (oui 9a7ba) ca m'excitait vraiment ... j;aimais le masturbait ... mutuellement aussi .. c t intense !
Nous nous retrouvions essentiellement au bureau, tard le soir, puis il a pris un appartement, dans lequel je me suis petit à petit installée et dans lequel je vis aujourd’hui. A sa femme, il avait inventé un nouvel associé, avec lequel il avait de plus en plus de « réunions tardives » et autres « dîners d’affaires. » Il m’arrivait et il m’arrive encore de penser à sa femme, de me dire que je suis cruelle, que je n’ai pas le droit de lui faire ça. J’essaie de me mettre à sa place. Et j’ai mal pour elle. Mais je me dis que mon heure arrivera aussi, et ça me déculpabilise un peu.
Aux yeux des autres employés, je pense que rien n’a vraiment changé. Ils ont toujours cru qu’il y avait quelque chose entre nous, je ne me sentais donc pas plus mal à l’aise. Je trouve cela particulièrement excitant d’être la « « maîtresse du boss », je me sens privilégiée. Mais aujourd’hui, l’avenir commence à me faire peur. La trentaine n'étant pas loin, je commence à réaliser que je le veux vraiment, même si je sais que je ne serai jamais plus qu’une maîtresse pour lui, et qu’il ne quittera jamais sa femme pour moi. Nos sentiments ont beaucoup évolué, il me promet des voyages, des projets en commun, mais j’essaie de ne pas le croire.
Je l’aime, mais j’arrive à me convaincre qu’il n’est pas à moi, et que j’ai déjà énormément de chance de vivre ces rares moments avec lui. Lui de son côté me couvre de cadeaux pour compenser son absence ou pour se sentir moins coupable de n’être que mon amant. Je sais qu’un jour je le quitterai, pour toutes ses promesses non tenues et pour cette histoire que nous ne vivrons jamais. Mais en attendant ce jour, je profite des moindres secondes que je passe avec cet homme, MON homme, le temps de quelques heures par jour. J’essaie aussi de ne pas penser à la souffrance qui s’installera en moi une fois qu’il ne sera plus là.
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